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DILEXIT NOS

Sur un sujet atemporel, le Cœur Sacré de Jésus, le pape François livre au monde et pour notre temps une longue encyclique sur le Sacré-Cœur. Voici quelques raisons de la lire. En publiant, au lendemain… Lire la suite »DILEXIT NOS

POUR QUI ?

La manip a marché ! Probablement que la grande partie des électeurs français se retrouve devant un « choix » qui n’en est pas un ! Le candidat du RN et l’un de ses opposants, dont le score était… Lire la suite »POUR QUI ?

Le doute est-il un péché ?

Comme si cela était un péché ! Comme si cela ne s’était pas déjà produit !               Cinq cardinaux, les cardinaux Walter Brandmüller (Allemagne), Raymond Leo Burke (Etats-Unis), Juan Sandoval Íñiguez (Mexique), Robert Sarah (Guinée) et Joseph… Lire la suite »Le doute est-il un péché ?

FIN DE REGIME – Vu du sud

La mort d’un adolescent, jeune délinquant, les émeutes qui s’en sont suivies, révèlent une déliquescence beaucoup plus avancée de notre système politique que dans les autres démocraties européennes. Elle n’est pas sans rappeler les événements… Lire la suite »FIN DE REGIME – Vu du sud

L’Eglise en souffrance

L’Église catholique n’est pas « persécutée » par ses ennemis qui la laissent tranquille ; elle l’est pas ses propres fidèles. Au temps où nous vivons, notre Église regorge de « réformateurs ». Chacun a sa petite idée de son… Lire la suite »L’Eglise en souffrance

La couronne et la croix

La couronne et la croix

Vous avez certainement remarqué la croix de procession qui ouvrait le cortège à l’entrée de l’abbaye de Westminster, au début du couronnement de Charles III ; ou plutôt du sacre, car la cérémonie était plus qu’une procédure institutionnelle, un véritable acte religieux. C’est bien ainsi que le nouveau roi d’Angleterre, fidèle à la tradition, l’a voulue……

Le linceul de Turin, Témoin authentique ? Témoin de quoi ?

Après les récentes publications, le moment est venu de tenter une synthèse sur une relique qui fait couler beaucoup d’encre et suscite de nombreux débats : le linceul de Turin. Elle constitue un témoin qui s’adresse spécialement à notre temps et elle nous donne l’occasion d’affronter un autre sujet d’actualité, souvent mal compris, celui des rapports entre science et foi.

L’affaire Philippe, suite

Sous le « patronage » de Mater Admirabilis, la naissance d’une nouvelle morale sexuelle ?

J’ai donné, dans un premier article, un résumé de ce que l’on appelle l’« Affaire Philippe ». Je vous propose une courte analyse afin de la mieux comprendre. On se trouve face à des faits réels qui, à première vue, apparaissent invraisemblables ? Comment ces prêtres, des hommes ayant leur pleine maturité, ont-ils pu en arriver à donner le sacrement de la réconciliation aux femmes avec lesquelles ils avaient des relations sexuelles, tout en sachant que ces actes n’avaient aucune validité ? Ont-ils volontairement passé outre cette règle impérative de l’Église qui prohibe la confession sacramentelle à une personne qui s’accuse de fautes qu’elle commet avec ce confesseur, les deux devenant complices ? Comment ont-ils pu justifier leurs actes par des théories « théologiques » aussi absurdes que celles qu’ils ont employées pour tromper des personnes ayant autorité, principalement des supérieures, et les conduire dans des voies aussi perverses ? Comment leur charme et leur réputation de « sainteté » ont-ils agi sur des femmes, non seulement « bonnes chrétiennes », mais consacrées par des vœux ou des promesses au service de l’Église ? Comment les ont-ils entraînées à poser des actes qu’un simple laïc aurait soupçonné être moralement mauvais ? Comment cet « invraisemblable » est-il devenu « vraisemblable » ?

L’affaire : le scandale d’une nouvelle spiritualité « érotico-mystique »

En janvier sont parus deux ouvrages très documentés sur les comportements douteux des fondateurs de l’Eau vive de l’Arche et de la communauté Saint Jean. La lecture et l’étude de ces documents, l’un de 900 pages, l’autre de 700 pages demande un effort et du temps pour comprendre la dimension réelle de cet « affaire ». Rares sont ceux qui auront le temps de les lire. Les agissements qu’ils révèlent dépassent largement ceux que la presse dénonce habituellement. La personnalité, la notoriété de leurs auteurs, les justifications mystiques qu’ils donnent de leurs actes qui s’écoulent sur presque un siècle posent de nombreuses questions. Les principaux acteurs de ce drame sont en effet des religieux contemplatifs et des sœurs contemplatives qui sont pour certains de grands intellectuels ayant par ailleurs un enseignement « officiel », conforme à la théologie morale de l’Eglise. Pour comprendre pourquoi et comment ces faits ont été possible une analyse complète et minutieuse s’imposait. Ce premier article examine le contexte familial, social et ecclésial dans lequel est né ce scandale. Un second proposera une tentative d’explication

Il n’est plus là, mais il est toujours avec nous

Nous ne verrons plus ce visage de douceur ; nous ne verrons plus ce regard lumineux ; nous n’entendrons plus le faible son de sa voix ; nous ne tremblerons plus à l’annonce des détresses de son corps. Les voiles de son navire se sont repliées ; le cercueil de bois s’est refermé ; les caves du Vatican l’ont accueilli. Nous savons qu’un jour, nimbé de la lumière du Dieu d’Amour, il sortira de l’ombre de la terre ; nous attendons, comme il le fit, que nos larmes soient effacées pour toujours. Le voyage du pèlerin est terminé ; le nôtre, pas encore. Que nous a-t-il laissé ?

Le discours du Pape François à la curie

Chaque année, le discours du pape à la Curie romaine suscite un certain malaise. Presque malgré soi, on se rappelle les allocutions du début du pontificat et on s’inquiète, non de ce qu’il va dire, mais du comment il va le dire. Souvent, quand le pape s’adresse aux membres du clergé, et surtout à ceux qui ont de hautes responsabilités dans l’Église, il laisse l’impression que les critiques l’emportent sur les compliments. Et c’est particulièrement ainsi quand il s’adresse à la Curie !

Le petit bonheur

C’est un petit bonheur que j’avais ramassé
Il était tout en pleurs sur le bord d’un fossé
Quand il m’a vu passer, il s’est mis à crier
« Monsieur ramassez-moi, chez vous emmenez-moi »
J’ai pris le p’tit bonheur l’ai mis sous mes haillons
J’ai dit, « faut pas qu’il meure, viens-t‘en dans ma maison »
Alors le p’tit bonheur a fait sa guérison
Sur le bord de mon cœur y avait une chanson